mardi 18 novembre 2008

Tarse

Gaston est très content se s’exclamer :
«Ça y est! Je suis à Tarse!»
Le voilà donc chez saint Paul, ou presque.

Il parcouru à peine 100km, mais le vent dans le nez.
Il est content de s’être avancé hier de 20km.
Après avoir quitté Erdemli vers 8h, il est arrivé à Tarse à 13h30.

Depuis l’Antiquité, la ville, devenue un nœud pétrolier, a beaucoup
changé. Elle compte maintenant environ 250 000 habitants dans une plaine très
industrialisée.

Au milieu de l’agitation de cette grande cité, Gaston a eu du mal à repérer
les traces de saint Paul, pourtant (discrètement) fléchées. Il a finalement
trouvé un musée, un puits et ce qui serait le reste de la maison
paulinienne.

Il a aussi découvert une petite chaîne discrète, les «teacher’s house». Il
avait déjà été orienté vers une «teacher’s house» (celle de Köycegiz) par
le professeur d’anglais de l’école hôtelière de Mugla. Mais à Köycegiz,
c’était tout petit, tandis qu’à Tarse, c’est un gros truc. Dans les deux
cas, c’est très confortable. Ici, il y a un petit parc, un restaurant et
c’est équipé en informatique. C’est tard dans la saison et il est (comme à
Köycegiz) le seul touriste. Ce réseau hôtelier discret est vraiment très
bien et à conseiller.

Tarse accueille une église, Saint-Paul, bien entendu, bien postérieure au
premier siècle, celui de Paul. Gaston en a profité pour y méditer une heure.
Passage «rapide», a-t-il dit, où il a trouvé ce qu’il voulait.

L’essentiel sur saint Paul.

L’essentiel sur Tarse.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Mado et Françoise, au cours d'un bon diner ne t'oublient pas. Nous avons bu du Pineau Pineau et un excellent Champigny.
Grosses bises et bon vent.