Avant les contreforts de la Cilicie, en Pamphilie, j'avais du mal à trouver des bananes, éléments essentiels pour l'effort. Que des oranges, dont c'est la pleine récolte. Mais sur ces contreforts et en terrasses tombant sur la mer, apparaissent des champs entiers de bananiers.
Soulagement. Hier, j'ai failli ne me nourrir que de cela, car le marchand ne les vendaient qu'au kilo. Où les mettre sinon dans l'estomac? Mais pas trop pour affronter ce redoutable Taurus qui m'a laminé.
Pour les 150 km encore à faire dans ces montagnes merveilleuses, je vais sans doute voir si je peux prendre un bus. Sinon, elles vont trop prendre sur mes réserves.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Suivez-moi 
1 commentaire:
Gaston, C'est beau et grand de t'être lancé dans cette aventure. Continue avec ton courage et celui des tiens qui te soutiennent.
La valeur d'un homme tient dans sa capacité à donner et non dans sa capacité à recevoir (Einstein). La récompense sera aussi pour le Muscadet qui t'attendra à ton retour...
Amicalement,
Marc Giannasi (frère d'Eric)
Enregistrer un commentaire