Demain soir, dimanche 26 octobre, je prends le TGV pour dormir à Paris et pouvoir prendre l'avion de 7H30 pour Athènes.
Un ami du printemps, Iakovos, m'attend à l'aéroport pour m'amener à Corinthe récupérer le vélo . Il est chez une amie de plus longue date, Dimitra. Elle m'a fait savoir que le vélo "a l'air touché et a fredonné à Iacovos qu'il est en très bonne forme et qu'il tient à me revoir". Moi aussi finalement.
Le temps semble venu d'entamer la dernière tranche de ce périple commencé l'an dernier à Tours à la même époque.
La finale commence à s'entrevoir. Ce ne sera pas Jérusalem. Mais Tabga, un petit lieu peu connu, beaucoup plus discret sur le bord du Lac de Galilée. Il est à connaître. Il a commencé à se découvrir à moi voilà 40 ans. Et j'ai l'impression que ce n'est pas fini. J'ai même découvert récemment, à ma très grande surprise, qu'une revue l'a pris comme nom: "Tabga, un nom qui donne des racines à la réflexion". Qu'elle idée! Très peu médiatique! A voir.
Je pars cependant un peu contrarié: la Syrie ne m'a pas encore donné de visa, alors que j'ai celui de Jordanie. Cette absence de laisser-passer m'oblige à penser à un circuit alternatif, plus maritime que terrestre, puisqu'il passerait par Chypre. A voir aussi. Que de choses à voir! A bientôt.
samedi 25 octobre 2008
Départ Corinthe-Tabga
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
Alors déjà arrivé à Athènes! Jusqu'ici c'est facile, mais il va falloir maintenant pédaler. Iyi yolucuklar (Bon voyage en turc)
Salut Gaston,
La technique me joue des tours... ca fait trois fois que je refais le message... tu vois ca arrive à tous... mais bon, l'important est d'y arriver... tu dois te dire ca pour Tabga !
Je t'envoie du courage pour le pédalage...
A très bientôt
Jacques
Cher Gaston, une petite pensée du futuroscope. Nous ne sommes pas aussi courageux que toi nous y sommes allés en voiture. Je t'envoie pleins d'énergie et pleins de pensées amicales. Armelle
Enregistrer un commentaire