jeudi 22 novembre 2007

Arenzano

Arenzano

L’étape d’aujourd’hui a été presque aussi difficile que celle d’hier.
60 km sous la pluie.

L’équipement a tenu le coup, mais Gaston était trempé comme une soupe à l’arrivée.

En plus, la recharge de son téléphone Orange – contrairement à ce qu’avait affirmé le vendeur français – ne fonctionne pas en Italie.

Il a commencé à manger des pâtes ce midi. Il n’y avait que ça sur la carte qu’on lui a proposée :-)

5 commentaires:

Brigitte a dit…

Bonjour Gaston,
Je viens juste de prendre connaissance de ce superbe blog...bravo au concepteur.Nous avons toujours été très fiers de toi, mais, là, tu nous cloue le bec...quel courage et quelle détermination !!
Je prendrai de tes nouvelles régulièrement, et du fond de mon canapé confortable, je t'encourage moralement !!!
gros bisous
Brigitte (Giannasi)

Anonyme a dit…

Courage Gaston, la pluie ne durera pas toujours (quoique, à Tours, ce ne soit pas terrible en ce moment). Par contre, en Italie, je ne vois pas comment éviter les spaghettis !
Nous sommes de tout coeur avec toi,

Nicole et Pierre

Jacques SERIZEL a dit…

Gaston,

Surtout ne pas perdre le moral.
C'est quand on pense au soleil que la pluie arrive...
Est-ce une quête perpétuelle de paix ou la recherche permanente de l'action qui est le moteur de la vie ?
Une forme nouvelle d'alternance ?
Ce passage continuel entre la lumière et l'ombre... celle de la caverne.
Ces deux temps qui stabilise et permettre la mise en mouvement de la vie.
Le pédalage est rotatif, peut-être circulaire au final !

A bientôt, courage

Jacques

Anonyme a dit…

J'ai surnommé ma dernière création culinaire à base de pâtes, "le voyage de Gaston"...je t'en ferai une portion pour ton retour!
Amicalement
Karine (GRIFAC)

Anonyme a dit…

Cher Gaston, au delà du temps, de la pluie qui vient faire taire le soleil, il y a la chaleur de l'amour, l'amour de la vie et de tous ceux qui vous accompagnent. Grosses biz, Armelle